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PARCOURS DANS L’OEUVRE DE RITHY PANH

Documentaire sur Grand Écran présente :

PARCOURS DANS L’OEUVRE DE RITHY PANH

Dimanche 8 octobre 2006
au Cinéma des Cinéastes

7 avenue de Clichy – 75017 PARIS

Séance plein tarif : 8, 50 euros / Adhérent Cinéma des Cinéastes et DSGE : 6,30 euros / séance de 11h : 6 euros / Forfait journée : 25 euros.


Contact presse et public : Michaël Dacheux

Documentaire sur Grand Ecran
52 Avenue de Flandre
75019 Paris
Tél : 01 40 38 97 71
Fax : 01 40 38 04 75
e-mail : info@documentairesurgrandecran
site : www.doc-grandecran.fr

Documentaire sur Grand Écran présente :

PARCOURS DANS L’OEUVRE DE RITHY PANH

Dimanche 8 octobre 2006
au Cinéma des Cinéastes

De passage à Paris avant de retourner au Cambodge où il travaille à la création d’un Centre de Ressources Audiovisuelles, Rithy Panh a accepté de nous accompagner dans un parcours au fil de quelques-unes de ses plus belles oeuvres. Notre choix s’est porté sur trois films récents. On ne présente plus S21 (14h), film-monument sur le génocide commis par les Khmers rouges, qui marque l’aboutissement d’un travail cinématographique proche de la fouille archéologique.

Si Rithy Panh est avant tout le cinéaste de la mémoire du génocide cambodgien, il est aussi le témoin d’autres violences que traverse le Cambodge contemporain : la violence économique, à l’oeuvre dans La Terre des âmes errantes (20h30), sera aussi au coeur de son prochain film.

Avec Les Artistes du théâtre brûlé, expérience de cinéma particulièrement étonnante qui se joue des frontières entre documentaire et fiction, il prouve, s’il était encore besoin, l’extraordinaire inventivité d’un cinéaste tout court.

James Burnet, ancien journaliste à Libération et spécialiste de l’Asie du Sud-Est sera présent pour présenter les séances de 11h et 14h. Un débat avec Rithy Panh suivra la projection de 20h30.

Temps fort de cette journée, à 18 heures, la ” ciné-conversation “, un dialogue entre Rithy Panh et le cinéaste Laurent Bécue-Renard, réalisateur de De guerre lasses, dans lequel les spectateurs pourront bien évidemment s’inviter.

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[INALCO] JOURNEE CULTURELLE : 20 mai 2006

JOURNEE CULTURELLE : 20 mai 2006

Ouverture : 11h à 18h
Début des spectacles : 12h

Entrée libre !

2, rue de Lille  75343 Paris
Métro : St germain des prés

Chaque année, depuis 2004, les associations étudiantes de l’Inalco (Institut
National des Langues et des Civilisations Orientales) organisent à la
Rue de Lille, la Journée Culturelle. Celle-ci, devenue une tradition au sein
de notre établissement, a pour but de valoriser les cultures des pays du
monde dont nous pouvons apprendre la langue à l’Inalco.

A cet effet, une scène est installée dans la cour de la Rue de Lille sur
laquelle se succèdent toute la journée démonstrations de danses, chants,
musiques, arts martiaux, défilés. Un stand saveurs d’ailleurs est
proposé aux visiteurs curieux de goûter à diverses cuisines du monde. Dans
les salles, investies par les étudiants de langues O, se trouvent des stands
« pays » ou « langues » décorés d’objets artisanaux, de photos, de livres,
etc. Des ateliers sont également mis en place afin de s’initier de manière
ludique à certaines traditions culturelles.

INALCO
Delphine Chan
Service Infocom

2 rue de Lille – 75343 Paris Cedex 07
Tél: 01 49 26 42 42

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Séra – EN D’AUTRES TERRITOIRES

Séra – EN D’AUTRES TERRITOIRES

dessins planches originales de bandes dessinées
images numériques peintures sculptures
du 05 février au 31 mars 2006
vernissage le mardi 21 février 2006 à partir de 18 heures 30

L’exposition EN D’AUTRES TERRITOIRES permet, pour la première fois à Paris, d’appréhender l’univers et la création d’un artiste qui exerce ses talents tant dans le domaine des arts plastiques que dans celui des arts graphiques: Séra.

Nous vous invitons, ici, à découvrir ses oeuvres autour d’un choix de dessins, de planches originales de bandes dessinées, d’images numériques mais aussi de peintures et de sculptures.

Séra - EN D’AUTRES TERRITOIRES

Séra, de son vrai nom Phousséra Ing, est né à Phnom Penh d’une mère française et d’un père cambodgien. Comme nombre de ses compatriotes, il a laissé derrière lui son enfance et son pays d’origine, le Cambodge.

Il n’a pas dix ans lorsque la guerre civile éclate. Après la prise du pouvoir par les Khmers Rouges et la chute de Phnom Penh en avril 1975, son père doit se livrer aux Khmers Rouges, tandis que le reste de sa famille est expulsée du pays, après s’être réfugiée à l’ambassade de France. Sur une population estimée à six millions d’habitants, le génocide cambodgien fait deux millions de victimes en quatre ans.

L’année 2005 fut celle de la commémoration de la chute de Phnom Penh, à laquelle Séra avait assisté jadis en témoin impuissant. Aujourd’hui il participe à cette commémoration en tant qu’artiste passeur de mémoire invité par le Centre Culturel Français afin de présenter son travail sous la forme d’une grande exposition itinérante de Phnom Penh à Angkor.

L’année 2005 aura été pour Séra une année importante, avec notamment la parution de trois albums de bandes dessinées : Rita Hayworth (Ed. Nocturne), L’eau et la terre (Ed. Delcourt), et Secteur 7 (Ed. Glénat). Cette production confirme Séra comme un des auteurs de bandes dessinées les plus surprenant de sa génération. Sa démarche graphique, entre modernité et tradition, apparaît comme l’une des plus originales des tendances actuelles.

Bien que la bande dessinée ait été, dès son enfance, son médium de prédilection, c’est par les arts plastiques que Séra trouve un langage propre à exprimer et à dépasser les blessures secrètes de sa mémoire. Quand il commence à pratiquer les arts plastiques, Séra est un jeune artiste en lutte aussi bien avec sa mémoire qu’avec ses supports. Pour s’approprier l’espace de la toile qui lui est alors étranger, il y insère dans un premier temps des éléments issus du réel : bois de récupération, tissus, fragments de machines-outil etc. Au fil des ans, sa peinture se déleste de ces apports extérieurs. Dans ses toiles les plus récentes, il lui suffit d’une juxtaposition d’effets de matières pour traduire la réalité des matériaux les plus divers.

Par ailleurs, Séra conçoit des sculptures à dimensions humaines, savant mélange de précarité et d’équilibre : le questionnement d’un homme partagé entre deux origines, entre chaos, nature et culture. Dès cette époque d’apprentissage, Séra découvre et s’adonne à la gravure sur bois et à la taille-douce (gravure sur métal). Cette pratique influence encore aujourd’hui son approche du dessin.

Séra réinvestit dans ses albums de bandes dessinées son expérience acquise dans les arts plastiques. Cela confère à chacune de ses images une complexité et une qualité esthétique que l’on trouve rarement dans le neuvième art. Depuis la fin des années 90 Séra parvient à ce résultat en synthétisant à l’aide de la PAO (production assistée par ordinateur) effets de matières, photographie et dessin. L’apport de documents photographiques lui permet d’ancrer toujours plus ses fictions dans une réalité.

Après avoir pris suffisamment de distance, Séra s’est attelé à évoquer les évènements qui ont bouleversé sa vie et celle de son pays d’origine, et a consacré deux albums à un sujet inabordé jusqu’à ce jour en bande dessinée : la tragédie cambodgienne. Impasse et rouge et L’Eau et la terre lui permettent en effet de conjurer le traumatisme dû à son déracinement brutal du Cambodge et, au-delà, de parler d’un génocide mal connu.

À l’occasion de la réédition d’Impasse et rouge, il écrit : « Mon père a été tué en 1978 par les Khmers Rouges. J’ai réalisé ce livre en hommage à tous ceux que j’ai dû quitter… en mémoire de cette ville, Phnom Penh, qui m’a vu grandir et que j’ai tant aimé parcourir avec mes sandales, le nez au vent, afi n d’en saisir toutes les odeurs et vibrations… en mémoire de tous ces événements qui continuent à nous hanter, nous qui sommes là aujourd’hui, à espérer et croire. Aujourd’hui, encore, je suis toujours en quête de réponses… dans l’attente d’un peu de justice… »

Au fil des années, Séra a conçu un univers visuel dense et complexe aux confluents de la peinture et du graphisme. Ce qui fait la singularité de cet auteur complet est ce long parcours artistique et la diversité des domaines qu’il a abordés.

Cette exposition offre donc l’occasion de découvrir l’oeuvre cohérente et ouverte d’un artiste qui vient du pays qu’on disait « du sourire ».

Texte de Éric Joly, commissaire d’exposition
à l’occasion de l’exposition EN D’AUTRES TERRITOIRES

Il sera édité un numéro hors série de la revue PLG, consacré à l’artiste et à la situation de la bande dessinée cambodgienne

1ère Station – espace d’art contemporain
L’Institut d’Etudes Supérieures des Arts a été choisi par PromoMetro, filiale de la RATP gérant ses espaces commerciaux, pour lancer et animer le premier espace commercial dédié à l’art contemporain dans le métro. 1ère Station, premier lieu de ce type, est située dans le 1er arrondissement de Paris, sur la Ligne 1, dans la galerie 1900 du Métro Palais-Royal – Musée du Louvre, un lieu magique que beaucoup de professionnels du monde de la Culture ne se résignaient pas à voir abandonné.

OEuvres originales et produits dérivés de la création contemporaine y sont vendus à des prix abordables, permettant à un large public d’entrer dans le cercle des amateurs et collectionneurs d’art contemporain. Arts décoratifs et arts visuels, mode et design, photographie et tableaux, installations et vidéo, art des jardins ou arts vivants, toute la création contemporaine peut descendre les escaliers du métro et s’inviter sans ticket à la rencontre des publics.

Des prix raisonnables qui permettent un achat immédiat, une programmation nationale et internationale mêlant des oeuvres et objets d’art contemporains de tous types, un travail sur la médiation des artistes et des oeuvres auprès d’un public souvent pressé, 1ère Station veut devenir un lieu de quartier, au coeur du 1er arrondissement, un lieu de découverte de l’art contemporain, une première station tant pour certains jeunes artistes, que pour des cultures moins connues du public français, et également une première station pour de nouveaux collectionneurs qui au détour d’un changement pourront être confrontés à des créations qu’ils souhaiteront acquérir.

Une exposition sous la conduite de Olga Varshavskaya, responsable de la 1ère Station Eric Joly, commissaire d’exposition commissaire d’exposition Joly L. Chaumont, M. Guyot, C. Vasselin, D. Bosse, E. Beauxis-Aussalet, N. Poureyron, R. Furtak, S. De Magalhaes, étudiants de l’Institut d’Etudes Supérieures des Arts, porteurs du projet Remerciements à Françoise Schmitt, directeur de l’Institut d’Etudes Supérieures des Arts Boris Grebille, Pierre-Edouard Schmitt…

espace d’art contemporain
concept de l’Institut d’Etudes Supérieures des Arts
métro Palais-Royal – Musée du Louvre
entrée au pied du Louvre des Antiquaires ou du Cab.

LUN – VEN 9h >20h – WE 10h >19h
t : 01 42 97 46 23 – f: 01 42 97 42 54 : 01 42 97 42 54
e: info@1ere-station.com – w: www.1ere-station.com

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La Pirogue d’Or – Cartes de voeux

La Pirogue d'Or

Newsletter Touk Meas N°9
—————————
http://www.lapiroguedor.com

Cartes de voeux la Pirogue d’or
_________________________________

Chers amis, chers membres,

Nous mettons à votre disposition 5 nouvelles cartes de voeux que vous
pouvez commander au bénéfice de l’association.

Ces cartes, au format 15×21, sont vendues 1 € la carte pour une commande de
dix minimum (panachage possible entre les cartes).

http://www.lapiroguedor.com/cartes_voeux/

La commande est à effectuer par mail à: hubert@lagente.bz

Elles vous seront envoyés directement à l’adresse que vous préciserez.

Le chèque de règlement est à adresser libellé à l’ordre de l’association La Pirogue d’Or à la trésorière de notre association en mettant au dos “cartes de voeux”

Linda Rakotovao, 41 rue Cantagrel, 75013 Paris.

En cette veille de fête, nous vous souhaitons joyeux Noel et tous nos voeux les plus chers.

Association TOUK MEAS-LA PIROGUE D’OR

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La restauration du Cambodge, société essentiellement rurale, dont les structures sociales
ont été décimées par la guerre, ne pourra se faire qu’en donnant aux paysans les moyens
de survivre sur leurs terres, d’éduquer leurs enfants, d’accéder à une modernité élémentaire
et de retrouver leur dignité.

L’association TOUK MEAS –LA PIROGUE D’OR s’est donné comme objectif de s’attaquer aux
racines de ce fléau.
http://t7.mailperf.com/r3.aspx?gv1=CJimVI168vEX9lhsASP0

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[APLC] Projet : évaluation de l’école Hôtelière Sala Bai-Siem Reap

Mission d’évaluation F3E : termes de référence

PROJET : évaluation de l’école Hôtelière Sala Bai-Siem Reap

La proposition qui est prête, en dehors de la constitution de l’équipe, doit être à Paris le Lundi 5 Décembre . Les délais sont donc très courts pour trouver un expert cambodgien. La personne pressentie n’étant plus disponible.

Voici les conditions de la mission :

Période : de mi janvier à mi février 2006

Nombre de jours :12
Tarif : 255 Euros /Jour
DSA : 30 euros/J

Profil du consultant cambodgien :

– L’expert cambodgien doit idéalement présenter le profil suivant (par ordre décroissant d’importance): connaissance approfondie du contexte politique et socio-économique cambodgien (enjeux, relations entre les instances : ministères-ONG-etc.), connaissance du secteur de l’hôtellerie restauration et/ou du tourisme cambodgien et/ou en Asie du Sud-Est, expérience dans la gestion et/ou l’analyse de projets de développement orientés vers la formation professionnelle.

– Langue français et anglais

Merci d’avance de mettre à disposition de cette recherche votre réseau.